Recherche de renseignements
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Recherche de renseignements
Bonjour, et merci pour votre accueil.
Je vous contacte pour avoir quelques renseignements sur mon père, décédé le 24 janvier 2009 à l'âge de 95 ans.
Mon père m'a peu parlé de la guerre, sauf pour les moments agréables. sa formation, ses camarades, ses permissions au Cachemire ses parachutages en Indochine et au Laos... et le 1er BCP.
Après sa mort, et lors de son enterrement, sans que nous ayons contactés qui que ce soit, il y avait plus de vingt drapeaux dans l'église, et autant d'anciens combattants.
En aidant ma mère à ranger ses affaires, j'ai trouvé quelques papiers, et notamment un descriptif de son passé militaire.
J'aimerai en savoir plus sur ce passé, puisqu'il ne s'est pas raconté de son vivant. Son travail sous les drapeaux a été de faire du renseignement, et il l'a fait, plutôt bien, et n'en a jamais parlé.
Voici donc les éléments en ma possession :
Incorporé au service militaire obligatoire le 15 octobre 1938 à la base aérienne de Chartres, suite à sa Préparation Militaire Supérieure effectuée à Caen, pendant ses études de droit en tant qu’Aspirant.
Après sa formation militaire d’officier, il est nommé au grade de Sous-Lieutenant le 17 avril 1939 et affecté à la Base aérienne d’Agadir, au Maroc, où il passe son « Brevet d’observateur en avion ».
Son service militaire actif prend fin le 17 septembre 1940. Il rejoint un poste d’adjoint au Contrôle Civil à Casablanca. Il est affecté à la région de Tedders, à 125km à l’est de Rabat. Il subit un grave accident de cheval qui le mettra hors service actif de longues années. Il a failli y perdre son bras gauche.
Revenu à la vie active, il se porte volontaire pour le service actif le 20 février 1943. Il est intégré à la base aérienne de Casablanca et est affecté au 1er Bataillon de Chasseur Parachutiste le 23 mars 1943 (1er RCP), après avoir passé son brevet parachutiste (Brevet n° 777).
Il est nommé au grade de Lieutenant le 10 mai 1943, en même temps qu’il est affecté au 1er BATAILLON DE CHOC, qui est stationné à Staoueli en Algérie. De par sa formation (avocat) et son engagement, il participe activement à la création de ce bataillon de choc, et entraine les nouvelles troupes qui arrivent au saut en parachute.
Il semble qu'il faisait parti de la 3ème Cie, et a fait le débarquement en Corse le 13 septembre 1943. Il y effectue diverses missions jusqu’en novembre 1943, date à laquelle il rejoint Staouéli, où il reste jusqu’en février 1944. Pendant cette première campagne, il reçoit une citation à l’ordre de la Brigade pour les opérations de commando qu’il a mené contre les troupes allemandes, ainsi que la Croix de Guerre étoile de bronze (décret en date du 15/12/1943), à laquelle vient s’ajouter une Palme obtenue plus tard, au Laos, pour son comportement au sein de la Force 136 (décret en date du 06/06/1946). Le Lieutenant Bernard LEROUX reçoit une citation à l’ordre de la Brigade pour les opérations de commando menées à cette occasion, tuant notamment deux officiers Allemand et faisant prisonnier le reste de la troupe lors d’une embuscade.
Le 17 janvier 1944, après avoir rejoint Staouéli, il se porte volontaire pour rejoindre la Mission Militaire Française en Extrême Orient près l’Etat Major Anglais basée à Meerut (Papa parle anglais couramment, mais avec un très mauvais accent…).
Le 8 février 1944, il est détaché par son Régiment, le 1er Choc, auprès de la Mission Militaire Française en Chine, affecté au 2ème bureau, plus connu sous le nom de « Force 136 » comme instructeur commando parachutiste. Il effectue un entrainement poussé de mars à juin 1944, notamment en zone tropicale à Poona, Goa et Rawalpindi.
A partir de juin 1944, il est détaché auprès de la Force 136 basée à Calcutta, chargée de l’organisation et du ravitaillement des mouvements de résistance aux Japonais en territoires occupés, essentiellement en Indochine. Il organise et participe à de nombreuses opérations de parachutages en Indochine depuis l’aérodrome de Jessore au Bengale. Pendant cette période, de retour d’une mission de renseignement sur le Tonkin, l’avion qui le transporte est touché par un obus de la DCA nipponne. L’avion est amené à se poser en territoire chinois, à Kunming. Pour prévenir ce genre de problème, les agents sont muni d’ordre de mission très précis rédigés en chinois. Il a ainsi pu rejoindre Jessore sans problème une fois l’avion réparé.
Il entraine au saut en parachute Mesmer, pour un seul et unique saut sur l’Indochine. C’est lui aussi qui le largue sur la zone de saut après avoir préparé son voyage (Messmer répondait toujours à Papa quand il lui téléphonait, y compris lorsqu’il devint Ministre. Ils ont travaillé ensemble à Saigon après la nomination de Messmer comme Gouverneur de la région de Saigon).
Il a continué ses missions de parachutage, de renseignement et d’évaluation sur zone, notamment sur le Tonkin et le Nord Annam. Fin 1944, il fait également des incursions au Laos.
De janvier à septembre 1945, il est nommé Chef du bureau des opérations françaises à la Force 136 et est basé à Calcutta. « … Cependant, le Lieutenant Leroux, cheville ouvrière de cette antenne, reste en place… »(sic Ph RAGGI, CF2R) Il est chargé d’organiser des points de résistance au Vietminh. A cette occasion, il est parachuté à Luang Prapang avec mission de liaison avec les différents groupes de guérilla installés au Laos. C’est lors de l’une de ces missions qu’il tombe avec son groupe dans une embuscade. Son groupe est fixé au sol par les tirs ennemis (il s’agit d’une jeep conduite par un indigène, du commandant anglais Winn, du commandant du groupement et de lui-même. Tous sont blessés et incapables de bouger. Il quitte l’encerclement, rejoint les militaires chinois qui observaient le combat sans chercher à intervenir, trop content que des français se face attaquer par les vietminh), et les forces à intervenir. Il y parvient et ramène une colonne de secours qui met l’ennemi en fuite, sauvant ainsi tous les membres de son groupe. Cette opération fait l’objet d’une citation à l’ordre de l’armée, avec attribution de la Légion d’Honneur (décret en date du 13/06/1946, JO du 07/07/1946) :
« Officier naviguant de réserve appartenant au 1er RCP. Du 6 mars 1944 à ce jour a été chargé des opérations aériennes et du renseignement du Service Action. D’une conscience professionnelle hors de pair et d’une grande puissance de travail, a été pour le commandement un adjoint précieux. Est à l’origine du succès des opérations aériennes. Parachuté le 13 septembre dans le haut Laos, y est demeuré jusqu’en novembre, représentant le S.A.. A ce titre a rendu sur place les services les plus éminents. Dans la nuit du 2 novembre, lors d’une liaison difficile, a été attaqué avec le commandement du groupement et un officier anglais. Tous ses camarades blessés, est parti en pleine nuit à travers l’encerclement des rebelles pour aller chercher des renforts, donnant l’exemple du plus tranquille courage. »
Ces promotions et nominations comportent l’attribution de la croix de guerre avec palme.
Sa Légion d’Honneur lui a été remise lors d’une cérémonie par le Général Revers, Chef d’Etat Major de l’Armée, à l’entrée du Bois de Boulogne, au rond-point de la Muette. (Papa avait d’ailleurs toujours un regard pour cet endroit à chaque fois qu’il y passait en voiture). Il porte le chapeau des troupes du Laos.
De novembre 1945 à février 1946, il reprend son poste de Chef des opérations aux forces françaises du Laos, mais cette fois ci, basé à Saigon (avec Messmer comme Gouverneur de la région). Il participe encore activement à des opérations de renseignement et de liaison sur Vientiane et Paksane. « … Dans la région de Rach Ca Doï, à la pointe de Camau, le lieutenant Leroux porte avec ses partisans des coups sévères à l'ennemi… » (sic. Colonel M. RIVES de l'ANAI).
Il est démobilisé le 27 mars 1946 à Saigon, et rejoint rapidement la France. Il prend le bateau pour rejoindre Marseille via Singapour, Colombo et Djibouti. Le voyage dure 2 semaines. Avant de rejoindre le Maroc, il fait un bref passage à Paris où il reçoit la Légion d’Honneur au bois de Boulogne (voir article de journal).
Il est également cité dans "les page de Jean-Roger DANEL", pour l'avoir rencontré au Laos, où il effectuait une mission d'inspection.
Voilà, j'espère que ces éléments vous permettront de le situer.
Si vous pouvez me faire parvenir, ou me donner accès à tout documents le citant, j'en serai très heureux. J'ai déjà rédigé un document expliquant à mes sœurs, petits enfants et arrières petits enfants qui était cet ancêtre, et je souhaiterai le compléter.
Amicalement,
Jean-Marc LEROUX
Fils de Bernard LEROUX
Lt au 1er BCP.
Je vous contacte pour avoir quelques renseignements sur mon père, décédé le 24 janvier 2009 à l'âge de 95 ans.
Mon père m'a peu parlé de la guerre, sauf pour les moments agréables. sa formation, ses camarades, ses permissions au Cachemire ses parachutages en Indochine et au Laos... et le 1er BCP.
Après sa mort, et lors de son enterrement, sans que nous ayons contactés qui que ce soit, il y avait plus de vingt drapeaux dans l'église, et autant d'anciens combattants.
En aidant ma mère à ranger ses affaires, j'ai trouvé quelques papiers, et notamment un descriptif de son passé militaire.
J'aimerai en savoir plus sur ce passé, puisqu'il ne s'est pas raconté de son vivant. Son travail sous les drapeaux a été de faire du renseignement, et il l'a fait, plutôt bien, et n'en a jamais parlé.
Voici donc les éléments en ma possession :
Incorporé au service militaire obligatoire le 15 octobre 1938 à la base aérienne de Chartres, suite à sa Préparation Militaire Supérieure effectuée à Caen, pendant ses études de droit en tant qu’Aspirant.
Après sa formation militaire d’officier, il est nommé au grade de Sous-Lieutenant le 17 avril 1939 et affecté à la Base aérienne d’Agadir, au Maroc, où il passe son « Brevet d’observateur en avion ».
Son service militaire actif prend fin le 17 septembre 1940. Il rejoint un poste d’adjoint au Contrôle Civil à Casablanca. Il est affecté à la région de Tedders, à 125km à l’est de Rabat. Il subit un grave accident de cheval qui le mettra hors service actif de longues années. Il a failli y perdre son bras gauche.
Revenu à la vie active, il se porte volontaire pour le service actif le 20 février 1943. Il est intégré à la base aérienne de Casablanca et est affecté au 1er Bataillon de Chasseur Parachutiste le 23 mars 1943 (1er RCP), après avoir passé son brevet parachutiste (Brevet n° 777).
Il est nommé au grade de Lieutenant le 10 mai 1943, en même temps qu’il est affecté au 1er BATAILLON DE CHOC, qui est stationné à Staoueli en Algérie. De par sa formation (avocat) et son engagement, il participe activement à la création de ce bataillon de choc, et entraine les nouvelles troupes qui arrivent au saut en parachute.
Il semble qu'il faisait parti de la 3ème Cie, et a fait le débarquement en Corse le 13 septembre 1943. Il y effectue diverses missions jusqu’en novembre 1943, date à laquelle il rejoint Staouéli, où il reste jusqu’en février 1944. Pendant cette première campagne, il reçoit une citation à l’ordre de la Brigade pour les opérations de commando qu’il a mené contre les troupes allemandes, ainsi que la Croix de Guerre étoile de bronze (décret en date du 15/12/1943), à laquelle vient s’ajouter une Palme obtenue plus tard, au Laos, pour son comportement au sein de la Force 136 (décret en date du 06/06/1946). Le Lieutenant Bernard LEROUX reçoit une citation à l’ordre de la Brigade pour les opérations de commando menées à cette occasion, tuant notamment deux officiers Allemand et faisant prisonnier le reste de la troupe lors d’une embuscade.
Le 17 janvier 1944, après avoir rejoint Staouéli, il se porte volontaire pour rejoindre la Mission Militaire Française en Extrême Orient près l’Etat Major Anglais basée à Meerut (Papa parle anglais couramment, mais avec un très mauvais accent…).
Le 8 février 1944, il est détaché par son Régiment, le 1er Choc, auprès de la Mission Militaire Française en Chine, affecté au 2ème bureau, plus connu sous le nom de « Force 136 » comme instructeur commando parachutiste. Il effectue un entrainement poussé de mars à juin 1944, notamment en zone tropicale à Poona, Goa et Rawalpindi.
A partir de juin 1944, il est détaché auprès de la Force 136 basée à Calcutta, chargée de l’organisation et du ravitaillement des mouvements de résistance aux Japonais en territoires occupés, essentiellement en Indochine. Il organise et participe à de nombreuses opérations de parachutages en Indochine depuis l’aérodrome de Jessore au Bengale. Pendant cette période, de retour d’une mission de renseignement sur le Tonkin, l’avion qui le transporte est touché par un obus de la DCA nipponne. L’avion est amené à se poser en territoire chinois, à Kunming. Pour prévenir ce genre de problème, les agents sont muni d’ordre de mission très précis rédigés en chinois. Il a ainsi pu rejoindre Jessore sans problème une fois l’avion réparé.
Il entraine au saut en parachute Mesmer, pour un seul et unique saut sur l’Indochine. C’est lui aussi qui le largue sur la zone de saut après avoir préparé son voyage (Messmer répondait toujours à Papa quand il lui téléphonait, y compris lorsqu’il devint Ministre. Ils ont travaillé ensemble à Saigon après la nomination de Messmer comme Gouverneur de la région de Saigon).
Il a continué ses missions de parachutage, de renseignement et d’évaluation sur zone, notamment sur le Tonkin et le Nord Annam. Fin 1944, il fait également des incursions au Laos.
De janvier à septembre 1945, il est nommé Chef du bureau des opérations françaises à la Force 136 et est basé à Calcutta. « … Cependant, le Lieutenant Leroux, cheville ouvrière de cette antenne, reste en place… »(sic Ph RAGGI, CF2R) Il est chargé d’organiser des points de résistance au Vietminh. A cette occasion, il est parachuté à Luang Prapang avec mission de liaison avec les différents groupes de guérilla installés au Laos. C’est lors de l’une de ces missions qu’il tombe avec son groupe dans une embuscade. Son groupe est fixé au sol par les tirs ennemis (il s’agit d’une jeep conduite par un indigène, du commandant anglais Winn, du commandant du groupement et de lui-même. Tous sont blessés et incapables de bouger. Il quitte l’encerclement, rejoint les militaires chinois qui observaient le combat sans chercher à intervenir, trop content que des français se face attaquer par les vietminh), et les forces à intervenir. Il y parvient et ramène une colonne de secours qui met l’ennemi en fuite, sauvant ainsi tous les membres de son groupe. Cette opération fait l’objet d’une citation à l’ordre de l’armée, avec attribution de la Légion d’Honneur (décret en date du 13/06/1946, JO du 07/07/1946) :
« Officier naviguant de réserve appartenant au 1er RCP. Du 6 mars 1944 à ce jour a été chargé des opérations aériennes et du renseignement du Service Action. D’une conscience professionnelle hors de pair et d’une grande puissance de travail, a été pour le commandement un adjoint précieux. Est à l’origine du succès des opérations aériennes. Parachuté le 13 septembre dans le haut Laos, y est demeuré jusqu’en novembre, représentant le S.A.. A ce titre a rendu sur place les services les plus éminents. Dans la nuit du 2 novembre, lors d’une liaison difficile, a été attaqué avec le commandement du groupement et un officier anglais. Tous ses camarades blessés, est parti en pleine nuit à travers l’encerclement des rebelles pour aller chercher des renforts, donnant l’exemple du plus tranquille courage. »
Ces promotions et nominations comportent l’attribution de la croix de guerre avec palme.
Sa Légion d’Honneur lui a été remise lors d’une cérémonie par le Général Revers, Chef d’Etat Major de l’Armée, à l’entrée du Bois de Boulogne, au rond-point de la Muette. (Papa avait d’ailleurs toujours un regard pour cet endroit à chaque fois qu’il y passait en voiture). Il porte le chapeau des troupes du Laos.
De novembre 1945 à février 1946, il reprend son poste de Chef des opérations aux forces françaises du Laos, mais cette fois ci, basé à Saigon (avec Messmer comme Gouverneur de la région). Il participe encore activement à des opérations de renseignement et de liaison sur Vientiane et Paksane. « … Dans la région de Rach Ca Doï, à la pointe de Camau, le lieutenant Leroux porte avec ses partisans des coups sévères à l'ennemi… » (sic. Colonel M. RIVES de l'ANAI).
Il est démobilisé le 27 mars 1946 à Saigon, et rejoint rapidement la France. Il prend le bateau pour rejoindre Marseille via Singapour, Colombo et Djibouti. Le voyage dure 2 semaines. Avant de rejoindre le Maroc, il fait un bref passage à Paris où il reçoit la Légion d’Honneur au bois de Boulogne (voir article de journal).
Il est également cité dans "les page de Jean-Roger DANEL", pour l'avoir rencontré au Laos, où il effectuait une mission d'inspection.
Voilà, j'espère que ces éléments vous permettront de le situer.
Si vous pouvez me faire parvenir, ou me donner accès à tout documents le citant, j'en serai très heureux. J'ai déjà rédigé un document expliquant à mes sœurs, petits enfants et arrières petits enfants qui était cet ancêtre, et je souhaiterai le compléter.
Amicalement,
Jean-Marc LEROUX
Fils de Bernard LEROUX
Lt au 1er BCP.
LEROUX- CHASSEUR
Chasseur LILIAN, BKLX et Sauvayre aiment ce message
Re: Recherche de renseignements
Bonjour et bienvenue sur notre Forum; ce document est vraiment fantastique!
Sur votre père lui-même je ne crois pas que nous ayons quelque chose (de plus au Choc il était peut-être, comme plusieurs, enregistré sous une fausse identité pour protéger sa famille)mais nous avons sur le Forum tout le JMO du Choc qui vous permettra de suivre une partie au moins de son parcours. en petits morceaux dans les Archives)
Sur l'Indochine, nous avons quantités de photos prise par un ancien des COmmandos de France parti là-bas, , dans la présentation de Bishop à Staouéli si je me souviens bien, mais Henri Simorre pourra me corriger et pas mal de documents toujours dans les Archives.
Sur votre père lui-même je ne crois pas que nous ayons quelque chose (de plus au Choc il était peut-être, comme plusieurs, enregistré sous une fausse identité pour protéger sa famille)mais nous avons sur le Forum tout le JMO du Choc qui vous permettra de suivre une partie au moins de son parcours. en petits morceaux dans les Archives)
Sur l'Indochine, nous avons quantités de photos prise par un ancien des COmmandos de France parti là-bas, , dans la présentation de Bishop à Staouéli si je me souviens bien, mais Henri Simorre pourra me corriger et pas mal de documents toujours dans les Archives.
Inès Lacroix- COMMANDANT
Re: Recherche de renseignements
Jeudi 16/2/2023
Jean-Marc , bonjour et merci pour tous ces renseignements
Pas de LEROUX ans l'annuaire des Anciens de 1946 , mais comme le dit Inés , beaucoup ont servi sous un pseudo pour éviter que les familles puissent être reconnues
Je vais donc chercher si je trouve des traces concernant votre Père..
Nous sommes preneurs de scans de photos, documents , souvenirs
Nous avons plusieurs familles d' Anciens du 1er R.C.P passés au Choc à Staouéli en 43 en tant que moniteurs de sauts (OUSSET , ALBERCA, etc...)
Bienvenue sur le collectif
Cordialement Henri
Jean-Marc , bonjour et merci pour tous ces renseignements
Pas de LEROUX ans l'annuaire des Anciens de 1946 , mais comme le dit Inés , beaucoup ont servi sous un pseudo pour éviter que les familles puissent être reconnues
Je vais donc chercher si je trouve des traces concernant votre Père..
Nous sommes preneurs de scans de photos, documents , souvenirs
Nous avons plusieurs familles d' Anciens du 1er R.C.P passés au Choc à Staouéli en 43 en tant que moniteurs de sauts (OUSSET , ALBERCA, etc...)
Bienvenue sur le collectif
Cordialement Henri
_________________
Chasseur SIMORRE- LIEUTENANT-COLONEL
Re: Recherche de renseignements
Le père de Bruno a aussi été aussi officier de renseignement au Viet-Nam, beaucoup plus fixe, je crois, mais je vais lui signaler le mail de Jean Marc
Inès Lacroix- COMMANDANT
BKLX aime ce message
Re: Recherche de renseignements
Vendredi 17/2/2023
Jean-Marc , bonjour
CORSE , opérations du 13 septembre au 4 octobre 1943
Le Lieutenant LEROUX est l'adjoint du Capitaine THOLLOT 1ère Compagnie puis il n'apparait plus pour l'île d'ELBE ; vous signalez qu'il quitte le Choc en février 44
Je cherche si je trouve traces de ses actions en CORSE
Cdlt Henri
Jean-Marc , bonjour
CORSE , opérations du 13 septembre au 4 octobre 1943
Le Lieutenant LEROUX est l'adjoint du Capitaine THOLLOT 1ère Compagnie puis il n'apparait plus pour l'île d'ELBE ; vous signalez qu'il quitte le Choc en février 44
Je cherche si je trouve traces de ses actions en CORSE
Cdlt Henri
Dernière édition par Chasseur SIMORRE le Jeu 16 Fév - 23:50, édité 1 fois
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Chasseur SIMORRE- LIEUTENANT-COLONEL
Re: Recherche de renseignements
Henri, à ton avis, pourrrait-ce être aussi une histoire de "couverture" d'agent de renseignement, comme pour le père de notre Canadien des Commandos d'Afrique?
Inès Lacroix- COMMANDANT
Re: Recherche de renseignements
RE
La 1ère Cie est stationnée à PISCIATELLO puis le 17 sept transport en camions vers TAVERA , le 18 par train vers TATTONE
Le 23 sept le Lt LEROUX se porte à la sortie est du défilé de l'INSECCA avec 2 groupes pour attaquer les convois de passages; le 24 il arrète une voiture avec 2 Officiers
A SUIVRE Cdlt Henri
La 1ère Cie est stationnée à PISCIATELLO puis le 17 sept transport en camions vers TAVERA , le 18 par train vers TATTONE
Le 23 sept le Lt LEROUX se porte à la sortie est du défilé de l'INSECCA avec 2 groupes pour attaquer les convois de passages; le 24 il arrète une voiture avec 2 Officiers
A SUIVRE Cdlt Henri
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Chasseur SIMORRE- LIEUTENANT-COLONEL
Re: Recherche de renseignements
Vendredi 17/2/2023
Jean-Marc
Inés a transcrit le journal de marche du Choc
Allez dans : "Les archives du Bataillon de Choc" et vous trouverez dans le bas de la page Journal de marche du Choc CORSE II puis plus bas Journal de marche du Choc CORSE I par Inés LACROIX
Cdlt Henri
Jean-Marc
Inés a transcrit le journal de marche du Choc
Allez dans : "Les archives du Bataillon de Choc" et vous trouverez dans le bas de la page Journal de marche du Choc CORSE II puis plus bas Journal de marche du Choc CORSE I par Inés LACROIX
Cdlt Henri
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Chasseur SIMORRE- LIEUTENANT-COLONEL
Re: Recherche de renseignements
bonjour à tous
effectivement mon grand père a dû croiser le Lt Leroux puisqu’il est arrivé fin 45 en Indo. Il était effectivement Officier de renseignement à l’état major de Hanoï au sein de la CCGH. il a participé aux opérations Papillon et Léa avec les paras de Sauvagnac (1er RCP et 1er BPC). ils ont pu se croiser…
à bientôt
effectivement mon grand père a dû croiser le Lt Leroux puisqu’il est arrivé fin 45 en Indo. Il était effectivement Officier de renseignement à l’état major de Hanoï au sein de la CCGH. il a participé aux opérations Papillon et Léa avec les paras de Sauvagnac (1er RCP et 1er BPC). ils ont pu se croiser…
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