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Bonjour,
Ancien militaire et étudiant en master 2 d'histoire contemporaine à l'université Pars 1 Panthéon-Sorbonne, j'ai découvert votre forum au cours de mon travail universitaire.
Je réalise en effet depuis l'année dernière des recherches sur la place du couteau, du poignard et de la dague dans l'univers combattant français de la Seconde Guerre mondiale.
Je souhaite donner une place importante aux commandos et aux troupes de choc dans mon mémoire. J'ai déjà réuni des données conséquentes sur les groupes francs de la Drôle de Guerre, les SAS et certaines unités de résistants, notamment grâce à la richesse des archives sur le sujet et l'existence de nombreux musées rendant hommage à ces combattants.
J'aimerais également pouvoir évoquer les troupes d'élite que sont les soldats des bataillons de choc. A cet effet, j'ai déjà dépouillé plusieurs dossiers au service historique de la défense de Vincennes :
GR 7 P 24 (dotations des petites unités d'infanterie, notamment unités de choc),
GR 12 P 91 (bataillon de choc),
GR 12 P 93 (brigade de choc et 1er groupement de bataillons de choc),
GR 12 P 94 (1er bataillon de choc),
GR 12 P 95 (3e bataillon de choc, 2e groupement de bataillon de choc, 2e bataillon de choc, 4e bataillon de choc),
GR 12 P 96 (3e groupement de bataillons de choc, 5e et 6e bataillons de choc, groupe de commandos d'Afrique).
Si ces archives ont permis de confirmer un certain nombres de choses (état d'esprit de ces unités spéciales, dotation en armes blanches, type de combat auquel ils sont voués), il existe très peu de témoignages évoquant directement le port du poignard et de la dague, au combat, au quartier ou encore à l'arrière du front.
En recherchant des indices supplémentaires, j'ai découvert que de très nombreuses photos avaient été postées sur ce forum, complétant les sources que j'ai déjà récoltées. Je me suis inscrit dans le but de pouvoir échanger avec ceux ayant posté ces photographies, en particulier le Chasseur Simorre, Felix Arguillère ou encore Varthau - qui semblent disposer d'une iconographie très riche sur le 1er bataillon de choc.
Je serais en outre très intéressé de discuter avec les membres du forum sur le sujet des armes blanches du 1er choc : présence réelle ou fantasmée, utilité au combat, pour la vie en campagne, mais aussi rapport de ces soldats à leur couteau, poignard ou dague (fierté de la porter, attachement, personnalisation de l'arme, marque identitaire de l'unité, symbole de cohésion, d'élitisme, du "vrai guerrier", etc.).
Au plaisir d'échanger avec vous tous,
Amicalement,
Gauthier, alias
PS : vous trouverez sans peine mon nom, puisque des articles ont déjà été publiés sur mes travaux dans le Ouest France ainsi que dans la lettre d'information du Souvenir Français.
Ancien militaire et étudiant en master 2 d'histoire contemporaine à l'université Pars 1 Panthéon-Sorbonne, j'ai découvert votre forum au cours de mon travail universitaire.
Je réalise en effet depuis l'année dernière des recherches sur la place du couteau, du poignard et de la dague dans l'univers combattant français de la Seconde Guerre mondiale.
Je souhaite donner une place importante aux commandos et aux troupes de choc dans mon mémoire. J'ai déjà réuni des données conséquentes sur les groupes francs de la Drôle de Guerre, les SAS et certaines unités de résistants, notamment grâce à la richesse des archives sur le sujet et l'existence de nombreux musées rendant hommage à ces combattants.
J'aimerais également pouvoir évoquer les troupes d'élite que sont les soldats des bataillons de choc. A cet effet, j'ai déjà dépouillé plusieurs dossiers au service historique de la défense de Vincennes :
GR 7 P 24 (dotations des petites unités d'infanterie, notamment unités de choc),
GR 12 P 91 (bataillon de choc),
GR 12 P 93 (brigade de choc et 1er groupement de bataillons de choc),
GR 12 P 94 (1er bataillon de choc),
GR 12 P 95 (3e bataillon de choc, 2e groupement de bataillon de choc, 2e bataillon de choc, 4e bataillon de choc),
GR 12 P 96 (3e groupement de bataillons de choc, 5e et 6e bataillons de choc, groupe de commandos d'Afrique).
Si ces archives ont permis de confirmer un certain nombres de choses (état d'esprit de ces unités spéciales, dotation en armes blanches, type de combat auquel ils sont voués), il existe très peu de témoignages évoquant directement le port du poignard et de la dague, au combat, au quartier ou encore à l'arrière du front.
En recherchant des indices supplémentaires, j'ai découvert que de très nombreuses photos avaient été postées sur ce forum, complétant les sources que j'ai déjà récoltées. Je me suis inscrit dans le but de pouvoir échanger avec ceux ayant posté ces photographies, en particulier le Chasseur Simorre, Felix Arguillère ou encore Varthau - qui semblent disposer d'une iconographie très riche sur le 1er bataillon de choc.
Je serais en outre très intéressé de discuter avec les membres du forum sur le sujet des armes blanches du 1er choc : présence réelle ou fantasmée, utilité au combat, pour la vie en campagne, mais aussi rapport de ces soldats à leur couteau, poignard ou dague (fierté de la porter, attachement, personnalisation de l'arme, marque identitaire de l'unité, symbole de cohésion, d'élitisme, du "vrai guerrier", etc.).
Au plaisir d'échanger avec vous tous,
Amicalement,
Gauthier, alias
PS : vous trouverez sans peine mon nom, puisque des articles ont déjà été publiés sur mes travaux dans le Ouest France ainsi que dans la lettre d'information du Souvenir Français.
gogoinfo- CHASSEUR
Re: Nouveau membre
bonjour Gauthier, il y aurait d'ailleurs une comparaison intéressante à faire entre ce type d'arme et et celle utilisées par les Allemands, les françaises (plutôt américaines ou anglaises d'ailleurs) très sobres et le poignard SS par exemple, plus "théâtral"
Inès Lacroix- COMMANDANT
Re: Nouveau membre
Mercredi 15/3/2023
Gauthier (gogoinfo) , bonjour et bienvenue
Concernant ce qui semble vous intéresser , quand vous êtes sur la page d'accueil , allez sur Le quartier du bataillon de Choc (cliquez) puis Armurerie du Bataillon , vous y trouverez ce que nous avons (soyez indulgent nous ne sommes pas des militaires de métier , ni historiens , simplement passionnés)
Comme vous j'ai eu l'occasion d'aller au SHD de Vincennes à plusieurs reprises pour compulser ces dossiers
Bonne lecture
Cordialement Henri
Gauthier (gogoinfo) , bonjour et bienvenue
Concernant ce qui semble vous intéresser , quand vous êtes sur la page d'accueil , allez sur Le quartier du bataillon de Choc (cliquez) puis Armurerie du Bataillon , vous y trouverez ce que nous avons (soyez indulgent nous ne sommes pas des militaires de métier , ni historiens , simplement passionnés)
Comme vous j'ai eu l'occasion d'aller au SHD de Vincennes à plusieurs reprises pour compulser ces dossiers
Bonne lecture
Cordialement Henri
_________________
Chasseur SIMORRE- LIEUTENANT-COLONEL
Re: Nouveau membre
Bonjour à tous,
Je vous remercie pour vos messages de bienvenue et l'intérêt que vous portez à mes recherches.
Je vais continuer à parcourir les différentes rubriques du forum, je suis certain que j'y trouverais quelques trésors.
Certains d'entre-vous m'ont envoyé des messages. Cela me fait très plaisir et je vais vous répondre très vite.
Peut-être puis-je également faire quelque chose pour vous ? Je pourrais éventuellement envoyer mon mémoire à ceux qui le souhaitent, une fois que celui-ci sera rédigé.
Merci Inès pour ta remarque. En effet, il y aurait beaucoup à dire sur les armes blanches nazies. Curieusement, aucune étude historienne n'a encore été réalisée sur le sujet. J'aborde un petit peu la thématique dans mes recherches. En effet, les Français (influencés par la presse notamment) associent sans aucun doute le couteau, le poignard et la dague au nazisme, et ce dès 1933, ainsi qu'au régime fasciste en Italie, qui distribue des poignards à ses miliciens.
J'ai également découvert que le couteau était très largement associé au communisme (figure de l'homme au couteau entre les dents).
Enfin, le couteau, le poignard et la dague sont trois objets totalement en opposition avec l'esprit pacifiste qui se développe en France pendant l'entre-deux-guerres, notamment car ils font référence à la culture de guerre particulièrement violente de la Première Guerre mondiale (et notamment aux fameux nettoyeurs de tranchée).
Quoi qu'il en soit, tous les Français ont une bonne raison, sur le plan idéologique, de maudire l'arme blanche : associée à la fois au communisme, au fascisme, au nazisme et à une certaine violence rejetée par une grande partie des Français à la suite de la der des ders.
De ce fait, c'est d'autant plus remarquable que de constater le port assez commun du couteau, du poignard et de la dague en 1944-1945. D'armes honnies, leur image se complexifie et ils deviennent notamment l'incarnation du courage, de la détermination, de l'esprit d'initiative, de la volonté d'en découdre avec l'ennemi, d'un certain élitisme, etc. Sacrée révolution !
Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais j'ai l'impression qu'il s'agit d'un indice d'un changement plus profond de l'image du soldat.
Le soldat parfait d'avant-guerre était incarné par le poilu : résigné, rustique, discipliné, capable d'endurer et d'exécuter les ordres sans se poser de questions.
Les qualités du parfait guerrier changent pendant la Seconde Guerre mondiale : il doit être sportif, capable d'accomplir des missions seul, isolé, de comprendre les ordres pour pouvoir s'adapter aux situations sans cesse changeantes. Il doit être animé de la soif de vaincre.
La baïonnette, symbole des charges collectives, du courage du groupe, du sacrifice, de la furia francese, de l'attaque au grand jour laisse place au poignard, qui incarne quant à lui l'intelligence, la furtivité, le courage individuel, l'efficacité, l'affranchissement des règles en vue d'accroître la létalité.
Cet esprit va se maintenir après 1945, au moins dans les troupes d'élite en Indochine et en Algérie, et perdurer jusqu'à aujourd'hui. Du moins, j'en ai l'impression.
Je vous remercie pour vos messages de bienvenue et l'intérêt que vous portez à mes recherches.
Je vais continuer à parcourir les différentes rubriques du forum, je suis certain que j'y trouverais quelques trésors.
Certains d'entre-vous m'ont envoyé des messages. Cela me fait très plaisir et je vais vous répondre très vite.
Peut-être puis-je également faire quelque chose pour vous ? Je pourrais éventuellement envoyer mon mémoire à ceux qui le souhaitent, une fois que celui-ci sera rédigé.
Merci Inès pour ta remarque. En effet, il y aurait beaucoup à dire sur les armes blanches nazies. Curieusement, aucune étude historienne n'a encore été réalisée sur le sujet. J'aborde un petit peu la thématique dans mes recherches. En effet, les Français (influencés par la presse notamment) associent sans aucun doute le couteau, le poignard et la dague au nazisme, et ce dès 1933, ainsi qu'au régime fasciste en Italie, qui distribue des poignards à ses miliciens.
J'ai également découvert que le couteau était très largement associé au communisme (figure de l'homme au couteau entre les dents).
Enfin, le couteau, le poignard et la dague sont trois objets totalement en opposition avec l'esprit pacifiste qui se développe en France pendant l'entre-deux-guerres, notamment car ils font référence à la culture de guerre particulièrement violente de la Première Guerre mondiale (et notamment aux fameux nettoyeurs de tranchée).
Quoi qu'il en soit, tous les Français ont une bonne raison, sur le plan idéologique, de maudire l'arme blanche : associée à la fois au communisme, au fascisme, au nazisme et à une certaine violence rejetée par une grande partie des Français à la suite de la der des ders.
De ce fait, c'est d'autant plus remarquable que de constater le port assez commun du couteau, du poignard et de la dague en 1944-1945. D'armes honnies, leur image se complexifie et ils deviennent notamment l'incarnation du courage, de la détermination, de l'esprit d'initiative, de la volonté d'en découdre avec l'ennemi, d'un certain élitisme, etc. Sacrée révolution !
Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais j'ai l'impression qu'il s'agit d'un indice d'un changement plus profond de l'image du soldat.
Le soldat parfait d'avant-guerre était incarné par le poilu : résigné, rustique, discipliné, capable d'endurer et d'exécuter les ordres sans se poser de questions.
Les qualités du parfait guerrier changent pendant la Seconde Guerre mondiale : il doit être sportif, capable d'accomplir des missions seul, isolé, de comprendre les ordres pour pouvoir s'adapter aux situations sans cesse changeantes. Il doit être animé de la soif de vaincre.
La baïonnette, symbole des charges collectives, du courage du groupe, du sacrifice, de la furia francese, de l'attaque au grand jour laisse place au poignard, qui incarne quant à lui l'intelligence, la furtivité, le courage individuel, l'efficacité, l'affranchissement des règles en vue d'accroître la létalité.
Cet esprit va se maintenir après 1945, au moins dans les troupes d'élite en Indochine et en Algérie, et perdurer jusqu'à aujourd'hui. Du moins, j'en ai l'impression.
gogoinfo- CHASSEUR
Re: Nouveau membre
Vendredi 17/3/2023
Gauthier , bonjour
Concernant les couteaux , il ne faut pas oublier les Corps Franc de 14/48 et 1940 ou cet "outil" était "apprécié"
Quant à la Baïonnette , j'ai connu quelques Anciens du Bataillon de Corée qui sont montés contre les lignes Chino-Coréénnes baïonnette au canon , l'outil n'était pas encore "obsolète"
Au départ seuls 2 Chasseurs par groupe avaient une Dague F.S à condition qu'ils aient suivi les cours de Silent Killing prodigués par le Anglais , un peu plus tard les dotations ont augmenté, mon oncle avait un U.S.M.3
J'espère que tu trouveras ce qui pourrait t'aider
Cordialement Henri
Gauthier , bonjour
Concernant les couteaux , il ne faut pas oublier les Corps Franc de 14/48 et 1940 ou cet "outil" était "apprécié"
Quant à la Baïonnette , j'ai connu quelques Anciens du Bataillon de Corée qui sont montés contre les lignes Chino-Coréénnes baïonnette au canon , l'outil n'était pas encore "obsolète"
Au départ seuls 2 Chasseurs par groupe avaient une Dague F.S à condition qu'ils aient suivi les cours de Silent Killing prodigués par le Anglais , un peu plus tard les dotations ont augmenté, mon oncle avait un U.S.M.3
J'espère que tu trouveras ce qui pourrait t'aider
Cordialement Henri
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Chasseur SIMORRE- LIEUTENANT-COLONEL
Re: Nouveau membre
On récupère des poignards ou des dagues à l'occasion sur le champ de bataille, et pas seulement comme trophée...
Inès Lacroix- COMMANDANT
Re: Nouveau membre
Bonjour à tous, et merci pour vos réponses et propositions !
Effectivement, comme vous le suggérez Inès, de nombreux documents attestent que la récupération des armes ennemies de toutes sortes ne remplit pas seulement une fonction de trophée, mais constitue une sorte de norme pour les soldats français engagés de 1940 à 1945. Même pendant la campagne d'Allemagne, les hommes de Rhin et Danube s'équipent massivement de pistolets-mitrailleurs MP 40, ou du STG 44.
Par contre, je n'ai pas encore trouvé de sources évoquant la récupération de couteaux, de poignards ou de dagues allemandes ou italiennes par les soldats des unités de choc. Je sais qu'un certain nombre de baïonnettes ont fini suspendues au ceinturon des maquisards, tout comme un certain nombre de dagues de parade dans les tiroirs des anciens combattants.
Mais si vous avez des exemples précis de récupération pour les soldats des bataillons de choc, n'hésitez pas à me faire signe !
De même, si vous avez des récits, témoignages ou photos au sujet de l'usage du couteau de poche, du poignard USM3, de la dague Fairbairn Sykes ou de tout autre arme blanche, par les hommes des bataillons de choc ou par tout autre combattant de la Seconde Guerre mondiale, cela m'intéresse beaucoup !
Au plaisir,
Gauthier
Effectivement, comme vous le suggérez Inès, de nombreux documents attestent que la récupération des armes ennemies de toutes sortes ne remplit pas seulement une fonction de trophée, mais constitue une sorte de norme pour les soldats français engagés de 1940 à 1945. Même pendant la campagne d'Allemagne, les hommes de Rhin et Danube s'équipent massivement de pistolets-mitrailleurs MP 40, ou du STG 44.
Par contre, je n'ai pas encore trouvé de sources évoquant la récupération de couteaux, de poignards ou de dagues allemandes ou italiennes par les soldats des unités de choc. Je sais qu'un certain nombre de baïonnettes ont fini suspendues au ceinturon des maquisards, tout comme un certain nombre de dagues de parade dans les tiroirs des anciens combattants.
Mais si vous avez des exemples précis de récupération pour les soldats des bataillons de choc, n'hésitez pas à me faire signe !
De même, si vous avez des récits, témoignages ou photos au sujet de l'usage du couteau de poche, du poignard USM3, de la dague Fairbairn Sykes ou de tout autre arme blanche, par les hommes des bataillons de choc ou par tout autre combattant de la Seconde Guerre mondiale, cela m'intéresse beaucoup !
Au plaisir,
Gauthier
gogoinfo- CHASSEUR
Re: Nouveau membre
Lundi 27/3/2023
Gauthier , bonjour
Quelques souvenirs venant d' Anciens Chocs et Commandos de France
Poignard allemand récupéré par mon oncle , sergent à la 4ème Cie du Bataillon de Choc
Souvenir offert par l'ex Adjudant COACHE de la Section Expérimentale du Bataillon de Choc , dague D.L.V
Récupéré par un Cdo de France
Couteau (Anglais) dotation du Choc , offert il y a des années par le Caporal GUICHARD Jean , 1ère Cie du Bataillon de Choc
Article paru dans Militaria Magazine , concernant ce couteau
Quelques poignard de prises portés par le Choc
à la 1ère Cie du Bataillon de Choc
Poignard jeunesse Hitlérienne????
à la 2ème Cie du Choc
Foret noire avril 45 le Choc à gauche porte une dague avec dragonne
Nov 44 , du coté de BELFORT le gars au centre semble porter un couteau des Jeunesses Hitlériennes
Je dois (peut être) en trouver d'autres , mais pas de classement particulier pour le port de ces couteaux et poignards , donc je dois reprendre des centaines de photos
A SUIVRE
Cdlt Henri
Gauthier , bonjour
Quelques souvenirs venant d' Anciens Chocs et Commandos de France
Poignard allemand récupéré par mon oncle , sergent à la 4ème Cie du Bataillon de Choc
Souvenir offert par l'ex Adjudant COACHE de la Section Expérimentale du Bataillon de Choc , dague D.L.V
Récupéré par un Cdo de France
Couteau (Anglais) dotation du Choc , offert il y a des années par le Caporal GUICHARD Jean , 1ère Cie du Bataillon de Choc
Article paru dans Militaria Magazine , concernant ce couteau
Quelques poignard de prises portés par le Choc
à la 1ère Cie du Bataillon de Choc
Poignard jeunesse Hitlérienne????
à la 2ème Cie du Choc
Foret noire avril 45 le Choc à gauche porte une dague avec dragonne
Nov 44 , du coté de BELFORT le gars au centre semble porter un couteau des Jeunesses Hitlériennes
Je dois (peut être) en trouver d'autres , mais pas de classement particulier pour le port de ces couteaux et poignards , donc je dois reprendre des centaines de photos
A SUIVRE
Cdlt Henri
_________________
Chasseur SIMORRE- LIEUTENANT-COLONEL
Re: Nouveau membre
Merci Henri pour toutes ces photos. Elles sont très intéressantes à bien des égards. Ces trophées de guerre étaient donc portées au quotidien, car si quelques photos semblent posées, les autres ont l'air d'avoir été prises sur le vif !
Une manière pour ces combattants, sans doute, de montrer leur supériorité sur l'ennemi, de marquer leur statut de guerrier et de vainqueur.
Je parcours également les photos du forum et j'en ai trouvé pas mal. J'ai envoyé de nombreux messages à plusieurs membres (Félix Arguillère, CAMTOM, Thibault Lucas, Dominique RAVEL, Chasseur RAMI). J'espère qu'ils me répondront ... !
Vraiment, ce forum est une mine d'or !
Une manière pour ces combattants, sans doute, de montrer leur supériorité sur l'ennemi, de marquer leur statut de guerrier et de vainqueur.
Je parcours également les photos du forum et j'en ai trouvé pas mal. J'ai envoyé de nombreux messages à plusieurs membres (Félix Arguillère, CAMTOM, Thibault Lucas, Dominique RAVEL, Chasseur RAMI). J'espère qu'ils me répondront ... !
Vraiment, ce forum est une mine d'or !
gogoinfo- CHASSEUR
Re: Nouveau membre
Bonjour Gauthier,CAMTOM, Anne Marie , ça fait longtemps qu'elle n'est pas passée sur le Forum, je ne sais pas si elle recevra votre mail; mais si vous n'avez rien dans quelques jours, je pourrai essayer de rétablir le contact avec elle . Vous pouvez aussi contacter DROMOIS, il doit avoir quelques photos.
Inès Lacroix- COMMANDANT
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